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T’EN SOUVIENS-TU AMOUR ?
20/11/2011 01:03
Quand nous nous sommes rencontrés,
Dans ce petit bar-restaurant
Cette oasis de paix
Au cœur de la tourmente.
T’en souviens-tu amour ?
J’y avais trouvé refuge,
Alors qu’autour de moi tout s’effondrait.
J’étais dans l’attente de la lumière,
D’un nouveau rêve d’avenir,
De lendemains qui chantent
Sur une nouvelle musique
Née de nos rêves entremêlés.
C’était rue Gérard dans le treizième arrondissement
C’était toi, et moi amour,
Perdu au milieu de ce déchainement
Entre l’Algérie, et la France,
Entre un pouvoir colonial, et le désir de liberté.
C’était cet enfant que je portais,
Ce tout petit qui n’était pas de toi,
Mais que tu aimerais autant que tu le pourrais.
C’était hier il y a de cela quelques années,
Mais qu’est-ce que le temps qui passe
Quand je repense à toi, à nous
À tout ce que nous aurions aimé vivre,
À tout ce que nous n’avons jamais vécu
Que l’espace d’une pensée furtive,
D’une larme qui devient fleuve
Sur lequel je me laisse glisser
Pour te retrouver, amour,
Et te serrer à nouveau dans mes bras,
Pour ne plus jamais te laisser repartir
Sans moi sur l’océan de la pensée.
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SACHA GUITRY
19/11/2011 11:21
"On peut faire semblant d'être grave, on ne peut pas faire semblant d'avoir de l'esprit."
Sacha Guitry.
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ABBE PIERRE
18/11/2011 22:06
"La vraie vie ne commence pas après la mort." Elle commence maintenant dans le choix que nous faisons chaque jour d'être égoïste ou d'être solidaire et sensible aux joies et aux peines des autres. Le plaisir, ce sera cet instant de pleine conscience où chacun se verra tel qu'il s'est fait : égoïste ou solidaire."
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ABBEE PIERRE
18/11/2011 10:35
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"Il n'y a rien de plus important que l'amour, la solidarité, la générosité…."
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TROIS PETITS TOURS ET PUIS S'EN VONT
16/11/2011 15:45
Enfant, je pensais qu’il n’y avait pas plus grand bonheur au monde que de grandir au sein d’une famille comme la mienne. J’étais persuadée d'avoir les meilleurs parents que l’on puisse espérer, et je leur étais reconnaissante pour la vie qu’ils m’avaient donnée. J’aimais de tout mon cœur ma grande sœur, et mes deux petits frères, et lorsque le dernier-né nous quitta, ce fut le premier grand vide de mon existence. J’avais à ce moment entre cinq, et six ans, et n’entendais rien aux mystères de la mort. Et puis, maman m’avait expliqué où il se trouvait, et pourquoi il s’y trouvait. Je dois avouer que je ne compris pas pourquoi il avait préféré le ciel à la terre alors que nous l’aimions tant, et que son absence était pour mes parents une douleur insurmontable. Je l’avais accompagné durant ses derniers jours avec l’innocence dont les enfants de mon âge bénéficient. Comment aurais-je pu me douter qu’il nous jouerait un tour pareil ! Pendant environ quatre ans après qu’il nous eut quittés, nous continuâmes cahin-caha notre route, la vie continuait, et notre petit prince si tôt parti veillait sur nous. Ma sœur aînée allait sur ses treize ans, un âge où l’enfant se transforme peu à peu en adolescent, puis en grande personne. Son corps prenait des allures de dame avec des ambitions qui allaient de paires. L’étroitesse de notre foyer, une vie dont on ne savait jamais ce que demain serait sans parler de ses responsabilités familiales lui était devenue insupportable. Après plusieurs mois de tractations secrètes avec notre père, elle réussit à le convaincre qu’elle n’avait plus sa place au sein d’une famille comme la nôtre. Elle devait songer à son avenir professionnel, et rien de ce qu’elle envisageait n’avait de chance d’aboutir sans un changement radical de vie. Et ce qu’elle attendait de lui était en un mot qu’il lui trouva un nouveau foyer dans lequel elle pourrait s’épanouir, se réaliser. Elle allait sur ses quinze ans, avait terminé sa scolarité, et savait déjà dans quelle branche professionnelle elle voulait évoluer. La coiffure ! À bout d’arguments pour la convaincre de faire part de ses projets à notre mère, notre père finit par oublier le serment de partage, et confiance qui le liait à sa femme. À son insu, il s’arrangea avec des cousins par alliance qui avaient une bonne situation, et qui vivaient dans un pavillon à Eaubonne. C’était faire un double affront à notre mère qui détestait royalement la femme de ce dernier. Un matin de juillet mille neuf cent cinquante, ma sœur franchie pour la dernière fois le seuil de notre foyer accompagné de notre père. Je ne sais pas ce que notre père avait prétexté pour sortir avec elle, mais ce fut sans aucun doute suffisamment plausible pour ne pas inquiéter notre mère. Une fois la porte refermée derrière eux, notre mère nous prépara mon petit frère, et moi pour nous amener à la garderie scolaire. Ce n’est qu’à notre retour que nous apprîmes que notre famille se retrouvait réduite à l’état congru de trois personnes. Notre mère, ulcérer par la conduite de son mari l’avait, sans tambour, ni trompette, congédiée !
Moralité : Il suffit parfois d’un seul mauvais fruit pour contaminer tout un arbre.
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LE PENSEUR
16/11/2011 11:22
"Aimez et pensez librement. Le reste regarde Dieu."
(Victor Hugo / 1802-1885 /
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CHANTE POUR MOI, MAMAN
30/10/2011 22:51
Quand il m’arrive d’avoir l’âme en déroute, quand tout se bouscule dans ma tête, je me réfugie à l’époque où j’étais petite fille. Mes souvenirs sont flous comme de vieilles photos surannées, mais ta voix, maman, ta si jolie voix aux accents de ton pays d’Ukraine leur redonnent vie. C’est comme un rayon de soleil après l’orage, comme un baume de tendresse qui me parcourt, et m’emporte une soixantaine d’années en arrière. Alors, je lève les yeux vers cette étendue bleutée, et je te dis, chante pour moi, maman, oui chante pour moi.
Je ferme les yeux, et je me laisse glisser dans cet espace qui n’est pas encore le ciel, et déjà quasiment plus la terre. Je suis entre deux mondes, entre tes bras, maman, et je n’ai d’yeux que pour toi, et d’oreilles que pour ta voix. Je suis si petite, si désorientée, mais tu es là pour me rassurer, pour me serrer contre ton cœur. Alors, je mets mes yeux dans les tiens, je tends vers toi mes mains, et je te dis dans un soupir, chante pour moi maman, chante pour moi.
Je vois des lumières traverser son regard noisette, elle me sourit, et toutes mes peurs se dispersent dans le souffle du vent venu du fin fond des steppes. C’est la saison des semailles dans son beau pays d’Ukraine, les blés vont bientôt lever leurs têtes blondes vers le soleil, et se laisser caresser par le vent qui retourne dans la taïga. Elle n’avait que trois ans quand elle s’en est allée chasser de son pays par la révolution, ses souvenirs sont ceux que ses parents lui ont transmis. Mais elle a su leur donner des couleurs, et des mots, et je ne me lasse pas de l’entendre chanter pour me raconter son histoire. Chaque fois que mon âme dérive vers d’obscures contrées, je me tourne vers maman, et je lui dis chante pour moi, maman, oh ! Oui, chante encore pour moi.
Commentaire de guybody (15/02/2013 11:21) :
bonjour votre blog est très beau tout ce qui y est dit est une vérité sans
faille pour moi les larmes m on envahis a certains moments et la nostalgie
du temps trops vite passer ma parcourus comme un eclair ! c est vrais que
nous avons plus de souffrances et de peines dans la vie etnous pouvons bien
souvent rien y changer et nous subissons sans voir réellement passer les
choses j ai également en plus de cela une passions commune avec mon épouse
c est l amour des animaux car plus je prend connaissances des vrais
réalités de la vie plus je me ratache a mes animaux malgré la torture et le
chagrin quand ils s en vont je crois en dieu et en tout les noms que l ont
donne a notre dieu car pour moi il n y en a qu un qui est appellé par d
autres nom dans d autres religions de ce fait je n ai pas peur de la mort
car je sais que je retrouverai tous ceux que j aime famille et animaux là
haut pour ne plus jamais être séparés et là jnous vivrons en paix pour l
éternité tous ensemblent sans aucuns conflits si vous le desiré vous pouvez
voir mon blog et vous comprendrez peut être mieux ma collère envers l
humanité a bientôt je l espère bisous amicaux mon épouse et moi même mamy
& papy
guybody.vip-blog.com .
http://guybody.vip-blog.com/
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MORT ET RENAISSANCE
27/09/2011 12:54
Paru en 2007 aux éditions EdilivreAparis, ce premier roman n'a pas connu un franc succès. Mais étant de celles qui ne renoncent jamais, je l'ai réécrit sous l'intitulé : NORMA JEANE ICI S'ACHÈVE TON CHEMIN. Il est actuellement chez un autre éditeur en attente de la décision du comité de lecture.
C'est un roman fictionnel traitant du séjour de Marilyn dans les vastes avenues des Champs Élysée célestes. Elle rencontre des personnages hauts en couleur, chante, et danse pour eux, et les enchante comme elle nous a enchantés par sa beauté, ses traits d'esprit, et son charisme infini.
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DE LA PASSION A L’INDIGNATION
27/09/2011 11:50
ESSAI
INTRODUCTION
De Paris à Tel-Aviv, des mots naissent, vont et viennent et s'installent dans l'âme. Des mots soleil ou nostalgie, des mots colère parfois, des mots d'amour toujours ! Des coups de gueule faits à l’emporte-pièce devant la forfaiture d'une catégorie d'êtres humains persuadée d'être l'unique détenteur des richesses de ce monde ! Des mots blessures à fleur de peau qui font grandir ! Des mots clés qui ouvrent l’esprit, des phrases phares qui éclairent les nuits de l’âme. Des chuchotements anodins glissés à l’oreille des personnes pour qui le verbe partagé a une portée limitée. La joie quand les mots portent leurs fruits, et la tristesse quand ils se heurtent à l'égocentrisme des uns, et à l'indifférence des autres !
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