|
[ MOTS DU COEUR ] [ PHOTOS ] [ MOTS D'AMOUR ] [ PENSEES ] [ PUBLICATIONS ] [ FACEBOOK ]
|
|
|
|
QU'AVONS-NOUS FAIT DE LA TERRE ,
21/05/2013 11:34
| |
|
|
|
|
|
|
|
DE LA PASSION A L'INDIGNATION
24/12/2012 09:56
Si tu décides d'aller vers le désert
Apprends d'abord l'humilité
Car là où tu poseras tes pieds
aucun bruit ne se fera
sache que dans l'immense silence
tu n'entendras que les pas de ton coeur
Agdal Waissan
| |
|
|
|
|
|
|
|
UN INSTANT DE REFLEXION
18/12/2012 11:06
Commentaire de bipolaire (20/12/2012 08:27) :
Se méfier du gamin qui ne fait jamais de bêtises..!:) ... Un couple sans
dispute ne dure pas, par manque de douce réconciliation à poser sur
l'oreiller du soir..!:) ... L'eau qui dort finit par croupir..! (DSMoon /
Instant Karma 2012)
http://bipolaire.vip-blog.com/
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
NORMA JEANE BAKER. ICI S'ARRETE MON CHEMIN
22/10/2012 09:50
Commentaire de maurina (08/11/2012 10:12) :
Editer en format numérique chez 7ecrit Edition.
Une idée de Marilyn Monroe qui diffère de l'idée que depuis cinquante ans
on se fait d'elle. Une Marilyn redevenue Norma Jeane plus intime, toujours
aussi fragile, mais qui donne à plus d'un d'entre nous une leçon de vie à
retenir.
http://maurina.vip-blog.com/
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
NORMA JEANE BAKER. ICI S'ARRETE MON CHEMIN
19/10/2012 11:35
De retour sur son étoile, Norma Jeane eut envie de raconter à son invisible interlocuteur comment s’était déroulée sa promenade. Elle commença par s’installer aussi confortablement que possible, puis l’appela :
"Invisible interlocuteur, êtes-vous là ?
– Bien sûr, mais pas seulement.
– Comment ça, pas seulement ?
– Ne te souviens-tu pas que Je Suis omniprésent ?
– Seul Dieu l’est, et il m’est difficile d’imaginer que depuis mon arrivée en ce monde, je converse avec Lui.
– Je comprends, mais dans certaines situations il faut parfois savoir faire preuve de plus de discernement. "
Une fois de plus, cette voix si particulière marquait un point. Elle avait toujours tendance à oublier où elle se trouvait, et donc de penser, et d’agir en conséquence.
"Je vois que mes paroles se sont frayé un chemin dans ton esprit, petite flamme, qu’il en soit ainsi tout au long de ton séjour.
– Je dois reconnaitre que vous avez l’art, et la manière d’aller droit à l’essentiel.
– C’est préférable dans ma situation, ne crois-tu pas ? "
C’est avec une habileté sans pareille, son invisible interlocuteur la guidait vers l’aboutissement de cette première étape de son parcours céleste. Si seulement elle n’avait pas la fâcheuse manie de sans cesse remettre en question chacune de ses paroles, elle serait déjà passée sur la face ensoleillée du plan.
Commentaire de bipolaire (21/10/2012 23:10) :
Pis Norma a croisé mon ange, et n'en est pas revenue... Dans mon Candy
A+Class ou dans mon neurone de vieux gars resteront mes nouvelles fraîches,
mes jolies images à lire à mon réveil, mes rêves à réveiller sur place, ou
à consumer plus loin, si loin de moi... Sommes-nous des coquelicots..?
Sommes-nous des sentiments à distinguer du pire, des coeurs à battre en
urgence, sur le tas et l'enclume du jour, loin de notre vieille humanité..?
Mon ange a croisé Norma, et en advienne le meilleur ou le pire, juste je
m'en porterai garant..!:)
http://bipolaire.vip-blog.com/
|
Commentaire de maurina (06/02/2013 11:50) :
Je remercie toutes les personnes qui visitent la première page de NORMA
JEANE BAKER. ICI S'ARRETE MON CHEMIN. Mais ne savez-vous pas qu'il est
possible de l'accompagner tout au long de son parcours en téléchargeant
toute l'histoire pour un euro symbolique chez Amazon, et 7écritéditions ?
Alors, ne perdez plus de temps, et retrouvez-la pour lui tenir la main, et
lui montrer combien vous l'aimer. Merci d'avance. Nathalie Elkine.
http://maurina.vip-blog.com/
|
Commentaire de maurina (12/02/2013 11:23) :
Bonjour.
Dans quelques temps, Norma Jeane Baker. Ici S'arrête Mon Chemin sera à
votre disposition dans toutes les librairies en format papier. Mais rien ne
vous empêche en attendant ce jour d'en prendre connaissance en format
numérique chez Amazon ou 7écritéditions.Pour un euro, c'est cadeau !
Nathalie Elkine.
http://maurina.vip-blog.com/
|
Commentaire de maurina (06/11/2014 20:07) :
Parce que c'est le premier roman sur Marilyn Monroe qui la montre sous une
autre lumière, céleste, certes, mais si terriblement humaine, et
charismatique.
J'ai tout aimé, comment aurais-je pu faire autrement ?
Je recommande ce livre à tout le monde, même à ceux qui ne font partie de
ses fans parce que cheminer un moment avec elle, c'est comme cheminer avec
un ange autrefois incarné.
http://maurina.vip-blog.com/
|
Commentaire de maurina (06/11/2014 20:15) :
Ce dernier commentaire est de Permalien, quelqu'un qui a pris du plaisir à
lire Norma Jeane Baker. Ici s'arrête mon chemin
en format Kindle en vente chez Amazon, et toutes les grandes librairies.
Merci.
http://maurina.vip-blog.com/
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
IL Y A QUELQUE PART
28/01/2012 10:36
Un enfant qui pleure, et que nous n'entendons pas non pas parce ce qu'il est loin de nous ou que des murs nous séparent de lui, mais parce que nous sommes devenus sourds.
Un petit que l'on devrait prendre par la main pour le rassurer, une petite âme qui se cherche perdue dans les ténèbres d'un monde qui le relègue loin derrière lui.
Une petite fille en Bolivie, un petit garçon en Côte d'Ivoire, et tant d'autres encore disséminés de par le monde des grandes personnes qui n'ont plus le temps de prendre la mesure de leur cœur.
Il y a toujours quelque part des enfants qui pleurent, et nous passons notre chemin sans les voir, sans les entendre, sans nous retourner pour leur tendre la main.
Il y a des rivières qui deviennent océans de larmes, des regards qui implorent, des silences qui hurlent, et qui nous laissent indifférents.
Il y a deux poids, et deux mesures, il y a nos enfants, et ceux des autres, et cela fait toute la différence.
Alors ne nous étonnons pas de voir grandir les nôtres dans un monde qui part dans tous les sens parce que déboussolé, et déshumanisé.
Le bien-être de chacun passe par celui des autres, et rien ne s'accomplira totalement tant qu'une partie de l'humanité restera sourde, et aveugle à l'autre moitié.
Ouvrons les portes de nos cœurs, gardons les yeux ouverts, et prenons tous un enfant par la main pour sécher ses larmes, et mettre un sourire sur ses lèvres.
Il ne faut plus qu'un enfant pleure, que ce soit en Bolivie, en Côte d'I voire où n'importe où sur cette planète, si nous voulons voir un jour nos enfants s'y épanouir.
Cet enfant qui pleure, et celui qui rit ont aujourd'hui les mêmes droits, et auront demains les mêmes charges, alors ne laissons plus aucun enfant pleurer tandis que l'autre rit.
| |
|
|
|
|
|
|
|
FLEUR BLEUE
27/01/2012 09:56
Au cours de ma vie, j’ai eu plus de surnoms que d’argent dans mon portemonnaie. Ils étaient dans l'ensemble plus ou moins caustique, et certain même dans les demi-tons, mais jamais encore on ne m’avait attribuée celui de fleur bleue ! Capitaine au long cours, du paquebot de l’existence, j’ai fait escale ici, et là selon que les vents étaient bons ou mauvais, selon mon humeur ou celle que me dictait mon cœur. Je suis arrivée tant bien que mal aux trois quarts de mon voyage, et m’apprête à savourer un repos bien mérité. Si je n’ai pas constamment suivi les sentiers traditionnels de la navigation existentielle, ce n’était pas volontairement, mais par ignorance. Mais, cependant, j’ai toujours fait de mon mieux pour essayer d’amarrer mon bateau aussi solidement que possible. Il se peut que certaines de mes méthodes parussent souvent inappropriées au but rechercher, mais je faisais avec ce que j’avais, et ce n’était jamais grand-chose. J’avais semé mes petites graines de vie à la va-comme-je-te-pousse sans me demander ce qu’elles donneraient, ni ce que j’en ferais. Mais au moment des récoltes, j’ai bien dû admettre que tous mes efforts pour transformer ma minable existence avaient échoué. Je me retrouvais irrémédiablement sur les mêmes sentiers qui se terminaient tous en cul-de-sac. Mais j’étais tenace, et refusant de baisser les bras, je me remettais immédiatement au travail, essayant de séparer le bon grain de l’ivraie. Bien des saisons passèrent avant que le choix de mes semences s’améliore, et je vis bien des soleils se lever, et se coucher avant d’obtenir de meilleures récoltes. Et lorsqu’enfin ma vie devint plus stable, et mes pensées plus claires, je put me consacrer à l’écriture, mon rêve d’enfant, ma passion. Un jour, au cours d'une discussion sur mon premier roman avec une personne très proche de moi, je fus surprise de m'entendre taxer de fleur bleue ! Je m'attendais certes à quelques critiques qui auraient sans doute eu le mérite d'être pragmatiques, mais certainement pas à me voir taxer de fleur bleue ! C’était son avis, et je ne me serais pas formalisée outre mesure si celle-ci eut pris la peine de lire plus que trois lignes avant de se prononcer. J’espérais qu’elle serait fière de moi en dépit de tous les handicaps qu’avec le temps j’essayerais de surmonter. Une fois de plus, j’avais fait preuve d'un trop-plein d'optimisme, et c'est le cœur serré que j’ajoutais à ma liste de sobriquets celui de fleur bleue. Ce soir-là, j’eus du mal à m’endormir à cause de ces deux petits mots anodins si jolis sur le dessus, mais si cruels à l’intérieur. Deux petits mots qui s'ils avaient été proférés par n’importe quel manant m’auraient probablement laissée de glace, mais qui venant d’un être cher à mon cœur, m’offensèrent. Au réveil, mon imagination se mit au travail, des mots dansaient dans ma tête, des idées fleurissaient. C’était le juste retour des choses quand on était une fleur bleue qui se prenait pour un écrivain talentueux. Alors, je me mis sans tarder au travail, et de mots en images je découvris toute la poésie que cette expression contenait. Par la magie de la pensée, je me retrouvais au beau milieu d’un champ entièrement composé de fleurs bleues. Celles-ci se balançaient sous la caresse d’une brise printanière sauf une qui se détachait des autres, et en laquelle je me reconnus. Oui, j’étais une fleur bleue, mais pas n’importe laquelle, la doyenne, celle à qui il fallait plus qu’une brise pour courber la tête au moindre souffle. Celle qui avait traversé tant de tempêtes, et fait face à tant de vents mauvais qu’elle pouvait aussi surmonter le peu prévenances que cette personne manifestait à l’égard de son travail. Il m’aura fallu plus de soixante ans d’existence pour comprendre que l’on n’apparait pas toujours dans le regard des autres comme on se voit soi-même. J’avais fait tant d’efforts pour changer l’image que l’on avait de moi pour en fin de compte me retrouver jugée comme Don Quichotte se battant contre les ailes des moulins. Je rajouterais que c’est souvent les personnes que l'on croit le mieux connaitre qui vous surprennent le plus, mais c'est également de celles-ci qu'on apprend le mieux à grandir !
| |
|
|
|
|
|
|
|
RIVAROL
01/12/2011 21:51
« Le langage est la peinture de nos idées. »
Commentaire de bipolaire (07/12/2011 22:41) :
L'Amour est le bon port du coeur:
Tout s'efface devant lui,
Et nous persistons à nous effacer
Devant ce beau miracle..!:)
DSMoon***
http://bipolaire.vip-blog.com/
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
CHRISTOPHE COLOMB
01/12/2011 10:45
"On ne va jamais aussi loin que lorsqu'on ne sait pas où l'on va"
Christophe Colomb
| |
|
|
|
|